L’hypothèse de l’Univers simulé soutient que nous évoluons dans une réalité artificielle, comme dans une simulation informatique. Jusqu’à présent, les preuves manquent pour étayer cette théorie. De récents développements scientifiques semblent toutefois soutenir l’idée que nous ne serions que les objets d’une simulation avancée à grande échelle. La deuxième loi de la dynamique de l’information, en particulier, a récemment relancé le débat. Appliquée à divers domaines scientifiques, elle pourrait fournir les premières preuves d’un Univers simulé.
Dans la carte ci-dessus, les formes des pays sont modifiées mais les frontières et les côtes sont correctement représentées. Topologiquement, cette carte est identique aux cartes traditionnelles.
Petit florilège des causes d'indisponibilités des transports en commun :
- en raison d'incidents divers (un classique)
- en raison de problèmes sur les installations du gestionnaire de réseau (tout aussi classique)
- suite à des difficultés d'exploitation causé par un manque de personnel (de plus en plus fréquent)
Les deux premières raisons, à vrai dire, ne donnent aucune explication, mais au moins, on communique, c'est dans l'air du temps. On en regretterait presque le bon vieux temps des grèves franches et revendiquées.
Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse.
-Albert Camus
C'est un agrégateur des instances Shaarli ? je lis bien ?
Il y a cinquante ans, le premier jeu vidéo, "Pong" d'Atari, était créé.
Le jeu initial ne reposait sur aucun logiciel, il était intégralement implémenté avec du matériel.
Que seront dans cinquante ans les concepts émergents d'aujourd'hui ?
Dans quelle mesure pourront-ils être mis en œuvre différemment ?
Et voilà : le froid nous fait des haleines. Il doit y avoir un mot en ouzbek pour mettre le doigt sur le plaisir un peu inconfortable ressenti à relire les mêmes pages d'un livre le lendemain de les avoir déjà lues en étant passé à côté, cette seconde fois prenant réellement la mesure de ce qui a été écrit. Ou peut-être qu'il s'agit simplement de préférer une situation connue ? Il n'est pas rare de délaisser les œuvres neuves pour mieux reprendre au hasard le fil d'une intrigue déjà vue ou lue mille fois par le passé pour pouvoir, tombant en plein milieu, se dire est-ce qu'il a déjà été poignardé à ce stade ? ou tiens, elle n'est pas encore morte, sans oublier bien sûr ils ne savent pas encore qu'ils s'aiment mais moi si.
(c) Naoki Urasawa, 20th Century Boys, Panini