112 shaares
- La notion de « progrès » ne sera plus associée au seul techno-solutionnisme,
- Les indicateurs de bien-être remplaceront le PIB pour piloter les politiques publiques,
- Les investissements en tout domaine prendront en compte les limites planétaires,
- La performance immatérielle sera considérée comme la condition d’une lucrativité raisonnable,
- Les solutions « propres » remplaceront vraiment les solutions « sales », aujourd’hui elles ne font que s’empiler les unes sur les autres,
- Les critères de réussite sociales ne seront plus synonymes de toujours plus pour la galerie, mais toujours mieux pour maintenir les conditions d’habitabilité de la planète,
- Le renoncement aux produits non essentiels deviendra la norme,
- Les inégalités sociales cesseront de nourrir les ressentiments et les extrêmes pour retrouver de la paix économique,
- La sobriété sans effet rebond ne sera plus confondue avec l’efficacité énergétique,
- L’interdiction de l’intolérable ne sera plus différée,
- Le vivant aura des droits,
- La compétition sera moins valorisée que la collaboration, l’entraide et la solidarité,
- Le génie humain et la haute technologie seront mises au service de l’essentiel et du techno discernement.